lundi 23 mars 2020

C. F. Ramuz, "Paris, notes d'un Vaudois", éd. Zoé, avec une préface de Pierre Assouline



"Un poche à ouvrir"... 

Dans Le Figaro (20 mars 2020, p. 15) Thierry Clermont propose un compte rendu de Paris, notes d’un Vaudois, publié chez Zoé Poche, 10 euros.

« […] en 1939, l’écrivain suisse Charles Ferdinand Ramuz publie un magnifique récit parisien, revenant sur ses années passées dans la capitale, entre 1900 et 1914. Un livre vagabond, impertinent, curieux, où il porte son regard neuf et d’une tendre naïveté de citoyen vaudois sur un Paris en pleine effervescence, le Paris du temps des « tramways à deux étages, peints en noir ». […] Ramuz, qui vivra successivement à Odéon puis à Montparnasse, nous balade de la place de la Concorde à Saint-Germain, en passant par les quais de Seine et son « grand ciel », les Tuileries, la rue de la Gaîté […]. Ce poète de la solitude de l’homme, poète de la terre, chantre des valeurs humanistes, est particulièrement inspiré quand il écrit : « Il y a un Paris qui s’agite et un Paris qui dure ; un Paris qu’on ne peut pas ne pas voir, même de très loin, et un Paris qui passe volontiers inaperçu. »








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